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Affichage des articles associés au libellé littérature poésie

Brigitte Fontaine : SALAM (musique et paroles)

Paroles de Soufi Poète, bel ami Clown cosmique maudit Cœoeur caché des muslims Philosophe des cimes Dont la vie est musique Soufi, roi des comiques Salam, salam, salam Enivré par l'amour Simple comme bonjour Rare aristocratique Seigneur ésotérique Monarque pauvre et fou Arlequin plein de poux Salam, salam, salam

Mort de Michel Laclos

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Il a fermé ses grilles (douze lettres en deux mots) : Michel Laclos, verbicruciste "amoureux de mots", est décédé dimanche à l'âge de 86 ans, laissant orphelins des dizaines de milliers de cruciverbistes francophones. "J'ai toujours eu le goût de la littérature, de la lecture, des mots, de l'humour et des jeux de mots", confiait en 2010 ce colosse barbu et débonnaire, "ami de Breton, Chaval et Vialatte". Ses définitions ont fait les délices des lecteurs du Figaro Magazine, depuis plus de trente ans, puis de Madame Figaro ou de TV Magazine et ses grilles de mots croisés sont toujours régulièrement publiées.

Parlez nous des enfants

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Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit, Parlez-nous des Enfants. Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle-même, Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.

Un cauchemar climatisé : une banque à Nantes

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Marcel Zang Africulture...    8 avril  2013 Témoignage sur le vif et dans l'émotion de l'écrivain Marcel Zang sur la discrépance entre l'humain et les règles appliquées à la lettre. Je m'apprête à m'envoler pour l'Afrique et participer aux obsèques de ma mère, qui auront lieu les 4, 5 et 6 avril 2013. Elle sera enterrée au village de mon père et reposera pour l'éternité à ses côtés, à Nyabibété, au sud du Cameroun. Ma mère avait 75 ans quand elle est morte, respectivement 18 et 20 ans quand ils se sont mariés. Je suis né presque aussitôt - fils aîné, enfant de l'amour. J'ai été chéri, couvé, encouragé et promu aux meilleures destinées. Voilà pourquoi je me suis retrouvé en France à 9 ans. Voilà aussi pourquoi je n'aurais jamais été écrivain si mon père avait vécu, je veux dire s'il ne s'était pas donné la mort pendant que je passais mon Bac à Rouen. Et depuis quarante ans ma mère est restée notre seul support visible

Seule Liberté est poésie et la liberté a un coût

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Quand les poètes tirent le vers à soi Depuis que la décision du Centre national du livre de réformer son institution a été dévoilée, les poètes de France se sont mobilisés: pas question que disparaisse la commission poésie, et les subventions qui en découlent. Il semblerait qu'ils aient d'ailleurs été entendus par la ministre de la Culture, puisque la réforme en question a été gelée. Pour Jean-Michel Platier, cette bronca des poètes témoigne d'une poésie tournée sur elle-même, qui reste le fait d'une élite, partagé par l'élite, et qui n'échappe pas au formatage des logiques dominantes. Lire la suite sur Arcanes du temps Perdu>>>