Euro ou refus de l’austérité, il faut choisir !
Déclaration du réseau Faire Vivre et Renforcer le PCF Le diktat de la commission européenne s’est refermé sur la Grèce. Non seulement, elle doit accepter une nouvelle étape d’austérité, sans aucune garantie de refinancement à long terme de sa dette, mais elle doit accepter une tutelle encore plus étroite, jusqu’à livrer une grande part de son patrimoine public à une privatisation directe confiée à la Troïka et ne plus pouvoir consulter son peuple sans l’autorisation de la commission européenne. L’audit de la dette avait pourtant montré que les plans européens cherchaient d’abord à sauver les banques européennes. Le fonds de privatisation sera bien évidemment dans les mains des mêmes banquiers et de leurs oligarques européens préférés qui se partageront les dépouilles de l’état grec. L’urgence n’est pas de savoir si le gouvernement Tsipras pouvait faire mieux . Il a bien expliqué qu’il se contraignait à défendre la dignité du peuple grec da