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Affichage des articles associés au libellé Ingérence

MALI : un autre regard : la France est là pour maintenir l'ancien système

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Interview réalisée par Omar & Jawad d’ATTAC / CADTM Maroc fin du mois de février 2013 avec les membres du secrétariat national du mouvement MP22 du Mali : Professeur Rokia Sanogo, présidente du MP22 au Mali Mme. Mariam Diawara, Avocate et Présidente du Club des avocats « Ahmed Sékou Touré » Mr Perygnama Sylla, membre secrétariat exécutif de MP22 OMAR : Nous vivons aujourd’hui une situation de désinformation totale par rapport à ce qui se passe chez vous au Mali. Nous avons pu à travers nos échanges depuis hier apprendre beaucoup de choses qui nous ont bouleversés et donc nous sommes là pour en savoir d’avantage. Jawad : Pouvez-vous nous présenter votre mouvement MP22 ? Rokia : Vous devez savoir que ce mouvement populaire comme son nom l’indique est l’aboutissement de tout un rassemblement de forces qui se battaient contre l’impérialisme donc on peut dire que c’était l’opposition au régime de ATT (Amadou Toumani Touré). Il est composé du part

Amérique Latine : La droite nord-américaine finance des fondations pour déstabiliser les gouvernements progressistes.

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Rafael Correa : “la tactique de la droite nord-américaine en Equateur, au Venezuela et en Bolivie, est de financer des fondations pour déstabiliser les gouvernements progressistes.” Après l’ex-président Lula qui a dénoncé le rôle des États-Unis dans la tentative de déstabilisation du Venezuela à la suite de la victoire de Nicolas Maduro , après l’expulsion de l’USAID – un des prête-noms de la CIA – par le président bolivien Evo Morales, le président équatorien Rafael Correa a réitéré l’avertissement à l’ambassadeur des États-Unis, Adam Namm, de s’en tenir à ses attributions diplomatiques au lieu de participer à des activités politiques contre le gouvernement.

Venezuela : défaite de la tentative de coup d’état.

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L’ex-président Lula critique l’ingérence des états-unis dans les élections vénézuéliennes. Thierry Deronne, Caracas, 17 avril 2013. Comme on le sait, dans les premières heures qui ont suivi l’annonce de la victoire du bolivarien Nicolas Maduro, des militants de l’ex-candidat de droite Capriles Radonski (1) ont obéi à sa consigne de « descendre dans la rue pour libérer leur rage" . Bilan : sept citoyen(e)s assassinés, dont deux bénéficiaires de la Grande Mission Logement résidant dans une municipalité de droite (Baruta) ; des permanences du Parti Socialiste Uni du Venezuela (PSUV), des centres de santé intégrale, des médias communautaires, des sièges régionaux du Conseil National Électoral, ainsi que des domiciles de fonctionnaires publics ont été attaqués ou incendiés. Cette violence raciste a bénéficié de la complaisance des médias internationaux, comme lors du coup d’État contre le président Zelaya (Honduras), le 28 juin 2009.

Risque de coup d'état au Vénézuela : manifestation de soutien

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A Paris, l’ambassade du Venezuela appelle à se rassembler à 18 heures, vendredi 19 avril, devant la statue de Simon Bolivar (entre le cours de la Reine et le Pont Alexandre III dans le 8e arrondissement, métro Invalides ou Champs Elysées Clémenceau). Ce dimanche 14 avril, le candidat bolivarien Nicolas Maduro a remporté les élections présidentielles du Venezuela. Le résultat est serré. Après décompte de 99,12 % des voix, sur la base d’une participation de 78,71 % des électeurs, Maduro a recueilli 7 505 378 voix, soit 50,66 %, contre 7 270 403 voix pour le candidat de l’opposition Capriles, soit 49,07 %. Capriles a déclaré contester le résultat du vote et exige un recomptage intégral des bulletins de vote. Depuis, le décompte de 100 % des votes a légèrement augmenté l’avantage de Maduro.

La justice internationale mise en cause en Côte d’Ivoire

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La Cour pénale internationale (CPI) a « légitimé » la mise en place d’une justice partiale contre l’ex-président Laurent Gbagbo et ses proches en Côte d’Ivoire après la crise post-électorale qui a fait plus de 3 000 morts, a dénoncé, jeudi 2 avril, Human Rights Watch (HRW).

Mali : Tombouctou, à feu et à sang

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Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, les "jihadistes" ne sont pas vaincus, ils ont disparu en se mêlant à la population. Le danger est toujours là.  ML Tombouctou, cette grande ville du nord-ouest du Mali a connu un week-end Pascal mouvementé. Des combats ont opposé des soldats maliens aux jihadistes, qui se sont infiltrés dans la cité des 333 saints, au lendemain d’un attentat kamikaze à la périphérie ouest de la ville. Le bilan de ces affrontements est de sept morts.

Syrie : La France livre déjà des armes à l'opposition

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Alors que Paris et Londres tentent de convaincre les Européens de lever en mai leur embargo sur les ventes d'armes aux rebelles syriens, la France passe outre cet interdit depuis plusieurs semaines. La campagne diplomatique franco-britannique vise donc notamment à légaliser une situation de fait.