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Affichage des articles associés au libellé socialisme

Mettre fin à l'austérité c'est possible : l'exemple du Portugal

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Depuis novembre 2015, c’est une union des gauches qui est au pouvoir au Portugal : un gouvernement socialiste soutenu au Parlement par les partis de la gauche radicale et les écologistes. Cette alliance inédite a réussi à mettre fin à l’austérité imposée pendant quatre ans par la troïka. Les composantes les plus à gauche ont imposé au gouvernement socialiste des mesures de revalorisation des bas salaires et des petites pensions, et de lutte contre le travail précaire. Avec succès : l’économie repart, le déficit public recule, et le petit pays du sud de l’Europe arrive même à convaincre Bruxelles du bien-fondé de cette politique. Un modèle à suivre ? Mi février, Benoît Hamon, en visite de trois jours au Portugal, a rencontré des acteurs de l’union des gauches qui y gouverne depuis plus d’un an. On en parle beaucoup moins que la Grèce avec Syriza ou l’Espagne avec Podemos. A Lisbonne, la gauche a réussi à défaire une droite adepte de l’austérité. Le Parti socialiste est parv

L’Angola, la grande aventure africaine de Fidel Castro

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« La réalité, c’est qu’il existe un lien inextricable entre Cuba et le combat pour la libération de l’Afrique australe », rappelle Mac Maharaj, un vétéran du Congrès national africain (ANC) compagnon de détention de Nelson Mandela. « Fidel est devenu une source d’inspiration pour notre combat ». Cuba fut d’ailleurs un des premiers pays visités par Nelson Mandela dans l’année qui suivit sa libération. Fidel Castro (2eG) et le président angolais  José Eduardo Dos Santos à La Havane, le 30 juillet 1987. © AFP Les dirigeants de nombreux pays africains ont rendu un hommage appuyé au "comandante" Fidel Castro. Mais s'il en est un dont le sort est, plus que les autres, lié aux soutiens politique et militaire du dirigeant cubain, c'est bien l'Angolais José Eduardo Dos Santos. Pendant un quart de siècle, son pays a été le théâtre du plus grand affrontement africain de la période de la Guerre froide, dans lequel le régime castriste a tenu l’un des rôles pri

Communiqué de l’association Cuba Coopération France

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Comme le peuple cubain, comme beaucoup de personnes dans le monde, nous sommes tristes et affectés par la disparition de Fidel Castro. Notre association qui intervient depuis plus de vingt ans dans le domaine de la coopération avec l’Ile a pu se rendre compte sur place du respect et de l’estime dont il jouit auprès du peuple cubain. Il représente pour les peuples latino américains et plus largement du monde entier celui qui a lutté victorieusement pour l’indépendance de son pays, qui a résisté pendant plus d’un demi-siècle à la guerre menée contre Cuba par son grand voisin les Etats-Unis. Il a permis à son petit pays de devenir majeur et de se hisser au premier plan en matière de santé, d’éducation. Petit pays, il en a fait un pays particulièrement solidaire des peuples qui souffrent dans le monde. Fidel Castro était un grand ami de la France. Un amoureux de sa culture, son histoire, de ses luttes. Notre révolution disait-il est héritière de vos conquêtes : 1789, la Co

Fidel Castro est mort.

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Par Jean Ortiz L’histoire retiendra qu’il fut l’un des géants politiques du XXe siècle, et que la faune de tous les anti-castristes est bien petite à côté de ce colosse. Son combat a permis l’avènement d’une Amérique latine nouvelle. De son vivant, Fidel était déjà entré dans l’histoire. L’Amérique latine perd un Libérateur, un référent, une légende. 6 novembre 2016 Je pleure. Pour mesurer la dimension du personnage, il faut le contextualiser. Cuba est une petite île ; elle n’est pas un morceau de l’ex-empire soviétique  qui s’acharne à survivre sous les tropiques. Les Etats-Unis sont intervenus plus de 190 fois en Amérique du sud, une seule expédition a échouée, celle de 1961 à Cuba. L’invasion mercenaire de la Baie des Cochons, pour tenter de renverser Fidel Castro. Les archives de la CIA l’attestent : Fidel a été victime de plus de 600 tentatives d’assassinat de la part des Etats-Unis. Pendant 50 ans, il leur a tenu la tête haute. Fidel est le libérateur, l’ém

11 septembre 1973 : le dernier discours de Salvador Allende

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Mes amis, C’est certainement la dernière fois que j’aurai à m’adresser à vous. La force aérienne a bombardé les tours de Radio Portales et de Radio Corporación. Mes paroles ne sont pas marquées d’amertume mais de déception, et seront le châtiment moral de ceux qui ont trahi leur serment : les soldats du Chili, les commandants en chef titulaires et l’amiral Merino, qui s’est promu lui-même, sans oublier Monsieur Mendoza, général perfide qui, hier encore, manifestait sa fidélité et sa loyauté au gouvernement, et aujourd’hui vient de s’auto-proclamer directeur général des carabiniers. Devant ces faits, il n’y a qu’une seule chose que je puisse dire aux travailleurs : je ne démissionnerai pas ! Placé à un tournant historique, je paierai de ma vie la loyauté du peuple. Et je suis certain que la semence déposée dans la conscience digne de milliers et de milliers de Chiliens ne pourra être arrachée pour toujours. Ils ont la force, ils pourront asservir, mais l

Amérique du Sud : un plan Condor nouvelle manière

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Surprenante cette absence des intellos et autres chantres des «  révolutions » à propos de la dangereuse évolution de l’actualité latino américaine. Avant-hier, guérilleros fanatiques, hier, anti-impérialistes militants sambatesques abonnés au forum social surtout lorsqu’il se tenait dans la patrie de Lula, fanas du rhum libérateur des Caraïbes, experts en transformations écolo-politico-sexo-syndicalo, dès que le vent se gâte, ils sont ailleurs. Silencieux. En réflexions, peut-être ?

La victoire d'Hitler signifierait la guerre contre l'U.R.S.S.

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"En vérité, s'il arrivait au pouvoir, Hitler deviendrait un des principaux soutiens du traité de Versailles et le complice de l'impérialisme français."  Léon Trotsky 1932   et c'est bien ce qu’espéraient les français en signant les accords de Munich en 1938 ...  Actuellement la politique mondiale présente deux points chauds, éloignés l'un de l'autre de façon inhabituelle : l'un sur la ligne Moukden-Pékin, l'autre sur la ligne Berlin-Munich. Chacun de ces deux foyers d'infection est à même de bouleverser le cours " normal " des événements pour des années ou même des dizaines d'années. Cependant les diplomates et les politiciens officiels continuent de vaquer à leurs tâches quotidiennes, comme si rien de particulier ne se passait. Ils s'étaient déjà conduits exactement de la même manière en 1912, durant la guerre des Balkans, qui fut le prélude à la guerre de 1914. On appelle cela à juste titre la

Soutien aux communistes polonais condamnés pour délit d'opinion

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  Appel International de soutien aux militants du Parti Communiste Polonais condamnés à la prison pour „propagation du communisme” Le 31 m ars 2016 quatre militants du Parti Communiste Polonais ont été condamnés par le tribunal de première instance de Dąbrowa Gόrnicza à 9 mois de prison ferme ou à des travaux d’intérêt général ainsi qu’à une forte amende pour avoir „propagé l’idéologie communiste” dans leur magazine „Brzask” et sur leur site internet. Le tribunal a jugé les militants selon une procédure spéciale appliquée dans les cas de délits dans lesquels „la culpabilité de l’accusé ne pose pas de doute”. Le tribunal n’a pas mené de procès selon la procédure du code pénal, se basant uniquement sur l’acte d’accusation. De ce fait, les accusés ont été privés du droit à la défense alors qu’ils avaient déjà demandé à être jugés selon une procédure pénal normale. Les militants du KPP (Parti Communiste Polonais ) sont accusés sur la base de l’article 256§1 du code pénal

Lettres de Pologne : les communistes emprisonnés.

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Chères amies Beata Karon, condamnée en Pologne à 9 mois de prison pour « propagande communiste » est justement l’auteure de l’intervention sur le bilan de la Pologne Populaire que je voulais traduire en français et vous demander de publier…. Je pense qu’il ne faut pas laisser nos amis du Parti Communiste Polonais tout seuls ! Surtout que déjà à Wroclaw le drapeau avec faucille et marteau porté par les camarades turcs avait été abusivement interdit – les camarades polonais voulaient faire une action en justice contre cette interdiction, on aurait dû le faire avec les Turcs parce que le régime capitaliste polonais se venge de notre Forum en frappant nos amis ! Dans l’Union Européenne on peut aller en prison pour communisme !!! Il faut le dire et le répéter surtout pour bouger les camarades du PCF ! Monika De : Bruno DRWESKI Envoyé : mercredi 20 avril 2016 18:26 Chers Camarades, Ayant été contacté par Jacques Kmiec

L’URSS continue de jouer son rôle dans la vie politique d’aujourd’hui

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 Le journal la « Pravda » a publié un article du vice-président du Comité central du Parti communiste, Dmitri Novikov, dédié au 25e anniversaire du référendum sur la préservation de l’URSS. ( Le 17 mars 1991, la majorité a voté pour l’Union des Républiques socialistes soviétiques.)Le parti communiste est le plus grand parti d'opposition.. (1) L’URSS a disparu depuis un quart de siècle. Mais sa disparition continue d’être ressentie douloureusement par les anciens citoyens soviétiques. De plus, ce sentiment est transmis à leurs descendants, ceux qui n’ont pas pu connaître l’époque soviétique. Comment expliquer ce phénomène ? Eh bien parce qu’aujourd’hui la question de l’URSS n’est plus simplement affaire de nostalgie. Elle ouvre directement sur le débat et les exigences du moment politique actuel. Bien sûr, les antisoviétiques proclament régulièrement qu’ils sont contre la renaissance de l’Union soviétique, sous quelque forme que ce soit ! Mais le fait

Roger Keeran. Le socialisme trahi : les causes de la chute de l'Union Soviétique.

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Le cercle universitaire d'études marxistes Roger Keeran. Le socialisme trahi : les causes de la chute de l'Union Soviétique. Résumé de la conférence du 11 octobre 2013 à l'Amphi Roussy : Introduction L'exposé tentera de dégager les principales raisons de l'effondrement ("collapse") de l'URSS. Cette question fait partie des sujets les plus importants pour les communistes et les progressistes du monde entier et ceci pour deux raisons. (1) Depuis 1991, le public a été littéralement bombardé "d'explications" et de commentaires d'une grande uniformité. Ces "explications" proviennent des conservateurs, des libéraux et des socio-démocrates. L'effondrement de l'URSS serait dû au socialisme lui-même. Le socialisme n'est pas viable, il ne peut pas marcher (d'où la terreur). Aux USA, on ajoute que le socialisme s'oppose à la "nature humaine" parce que celle-ci implique la propriété. Par conséquent,

Gouvernements populaires en Amérique latine : « fin de cycle » ou nouvelle étape politique ?

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par  Isabelle Rauber * Quelques intellectuels qui se définissent comme étant de gauche ou de centre gauche, ont affirmé récemment que nous vivons une fin de cycle des gouvernements progressistes, caractérisée par l’épuisement de leurs programmes néo-développementistes – qui incluent l’extractivisme – et leur « inefficace » capacité de gestion. Selon eux, nous devons donc nous attendre à une avancée de la droite dans la région, situation qui dessinerait une nouvelle carte politique en Amérique latine. Avec ce discours « visionnaire », basé sur la connaissance des projets géopolitiques de l’empire pour la région, ces intellectuels ont contribué à installer et à « rendre naturel » dans l’opinion publique l’avènement de la fin des gouvernements populaires et leur remplacement « inévitable » par des gouvernements de droite, en les présentant même comme une « salutaire alternance » . Il convient donc de partager quelques réflexions au sujet de ce diagnostic et de ce jugement. Le

Pour vous, être marxiste aujourd’hui,

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c’est quoi, au fond ? par Daniel Ben Said  : Je ne dirais pas que je ne le proclame plus, mais je le dis rarement, parce que l’histoire du mot a pris le dessus sur le sens, la connotation sur la signification. Le mot a servi a tant de choses différentes et contradictoires qu’il ne peut plus être utilisé innocemment. Il y a eu des marxismes d’État, des marxismes de parti... Aujourd’hui, il faudrait parler de mille (et un) marxismes. Ce pluralisme découle des contradictions mêmes et des limites historiques de la pensée de Marx. C’est un héritage ouvert : comme disait Derrida, l’héritage, ce n’est pas quelque chose qu’on dépose au coffre, c’est ce qu’en font – et en feront - les héritiers. Pour trouver un sens, il faut revenir au noyau dur, au titre qui a accompagné Marx pendant près de quarante ans, des manuscrits de 1844 à sa mort : « la critique de l’économie politique ». Prenons l’exemple de la mondialisation. Beaucoup d’esprits critiques racontent comment elle fonctionne -

LE VENEZUELA N’EST PAS UNE MENACE, NOUS SOMMES UN ESPOIR

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Peuple du Venezuela, peuples fraternels du monde entier, le Venezuela a été injustement agressé. Le 9 mars dernier, le Président des Etats-Unis, Barack Obama, a signé un décret exécutif déclarant que la Patrie de Bolívar constitue une menace pour la sécurité nationale nord-américaine. Comme nous l’a enseigné l’Histoire, de telles déclarations ont eu des conséquences funestes pour notre continent et à travers toute la planète. Face à cette nouvelle agression, nous hissons le drapeau de la légalité internationale, de la justice et de l’union de nos peuples. Le Venezuela sait qu’il n’est pas seul. Déjà en date du 14 mars, l’Union des Nations sud-américaines (UNASUR) a émis un communiqué historique qui marque le début de la construction d’une doctrine rejetant la tentative unilatérale d’application de sanctions ou de menace contre des pays par l’usage de la force politique, financière ou militaire En tant que Président de la République Bolivarienne du Venezuela, j’ai adressé

Venezuela : "Un peuple Président"

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R ENFORCEMENT DU POUVOIR CITOYEN ET DES DROITS SOCIAUX, SANCTIONS ENVERS LES ÉTATS-UNIS : LE VENEZUELA RÉPOND À LA TENTATIVE DE COUP D’ÉTAT Alors qu’en 1973 il restait des médias occidentaux pour s’émouvoir du coup d’État perpétré au Chili, ceux d’aujourd’hui scandent à l’unisson : “Président du Venezuela, laisse-toi te renverser ! C’est pour ton bien ! Renonce à défendre le choix des électeurs ! Renonce à la loi, à la Constitution. Si tu arrêtes un putschiste, nous te dénoncerons comme répresseur !”. Le bulldozer des news, déjà bien rodé pour créer le personnage Chavez, a été réactivé pour fabriquer le tyran Maduro qui agite au loin un poing brutal pour mieux écraser des foules fanatisées alors que la voix feutrée de l’opposition de droite ou du porte-parole de la Maison Blanche, de face, en plan proche, s’étonne de tant de violence. Même lors du coup d’État manqué contre Chavez en 2002, jamais on n’avait observé une telle intensité dans le bombardement médiatique pour nous fa

l'héritage de Chavez : les communes

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Par Mario Sanoja et Iraida Vargas * On a beaucoup parlé, beaucoup écrit sur l’héritage de Chavez, or ce n’est qu’aujourd’hui que, sous l’impulsion du Président Maduro et de son équipe, commence à s’incarner son idée centrale pour transformer la société vénézuélienne. Dès 2007, Chavez expliquait : “Tous les moteurs constituants sont tributaires ou convergent vers le cinquième (moteur), qui est le plus grand, le plus puissant, le moteur essentiel. Lequel ? L’explosion révolutionaire du pouvoir communal, les conseils communaux… ” (Chávez 2007: 40). Le Capital est encore profondément inscrit dans tous les secteurs de la culture et de la société vénézuéliennes, capable de dominer et d’influencer en sa faveur le processus de reproduction sociale, tout en étant incapable de résoudre les problèmes et les contradictions qu’entraîne son activité. Abolir ou au moins neutraliser les institutions spécifiques qui font l’hégémonie du capitalisme, doit être, est, le premier pas révolutionnaire da

La remarquable réussite d’Evo Morales

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Evo Morales a respecté son engagement de combattre le « colonialisme interne » de l’Etat bolivien, avec l’exclusion structurelle de la majorité indienne du pays. Le premier mandat s’est clôt avec l’adoption de la nouvelle constitution de janvier 2009, remplaçant « l’Etat républicain » par « l’État plurinational », avec des actions résolues en faveur des droits des Amérindiens, et des structures de décisions qui ne limitent pas la démocratie au vote, une fois tous les quatre ans. Que ça fait du bien ! Des dirigeants politiques intègres, compétents et courageux, qui transforment leur pays en alliant le développement économique, la solidarité et la démocratie. Où ça ? En Bolivie ! Evo Morales et le Mouvement vers le socialisme (MAS) sont au pouvoir depuis huit ans, et ça marche. Le pays le plus pauvre d’Amérique du Sud décolle. C’est peu dire que les braves gens d’ici attendait avec morgue de voir ces Indiens, amis de Chávez, se prendre un splendide râteau. A l'épreuve des faits,

BREIHZISTANCE : Premiers enseignements et quelques perspectives après le succès de la mobilisation de Karaez.

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La gauche indépendantiste Autour de 40 000 personnes se sont donc rassemblées le 30 novembre dernier à Carhaix à l’appel du Collectif «Vivre, décider et travailler en Bretagne». Dès 13h30, le pôle ouvrier s’était donné rendez-vous devant la gare pour rejoindre plus tard, en cortège de près de 2000 personnes, le site de Kerampuilh, lieu de rendez-vous du rassemblement. Le comité pour le maintien de l’emploi en Centre-Bretagne, dit pôle ouvrier du Collectif «Vivre, décider et travailler en Bretagne» a ouvert les différentes interventions par la lecture de ses revendications en français et en langue bretonne avant que ne lui emboîte le pas les ouvriers de GAD, Marine-Harvest, de Tilly Sabco, ou de Doux. Ce qu’on dit ces ouvrières et ouvriers, comme ils le rappelleront plus tard sur la grande scène de Kerampuilh, c’est qu’ils ne sont pas dupes, ce ne sont pas «des nigauds» comme il arrangerait certains de le faire croire. Elles sont bretonnes, ils sont bretons, et veulent tout simpl

Venezuela : L'armée pour faire baisser les prix

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Une foule de Vénézuéliens s'est amassée  devant les magasins de la chaîne d'informatique Daka,  après que le gouvernement a fait intervenir l'armée. |  Le président vénézuélien Nicolas Maduro a ordonné l'"occupation" par l'armée d'une chaîne de magasins d'électronique afin de l'obliger à revenir sur des hausses de prix que le gouvernement socialiste juge néfastes à l'économie du pays.

Le pape François reçoit l'ennemi de la révolution bolivarienne, le fasciste Henrique Capriles

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Il n'y a là pour moi  rien d'incroyable , nous avions déjà mis en garde dès l'élection de ce nouveau pape que tout le monde croit progressiste. Mais son discours ne vise qu'à séduire les masses pour les détourner d'une vision socialiste du monde. Il parle mais dans le fond rien ne change.  Oscar Fortin comprendra peut-être mieux mes critiques des premières heures du pontificat. mais je sais grée à Oscar Fortin de nous alerter sur un événement qui aurait pu passer inaperçu et qui n'est pas de moindre importance. C'est un mauvais jour pour l'Amérique latine. Maryvonne Leray  Le pape François au service de l’Empire Incroyable, mais vrai, le pape François, comme chef d’État du Vatican, vient de recevoir le candidat défait à la dernière élection présidentielle au Venezuela, Henrique Capriles. Qui est Henrique Capriles ? Il fut d’abord et avant tout un acteur important du coup d’État militaire qui renversa, en 2002, pour quelques jours seulement,